samedi 7 février 2009

Fin des soldes

J'finis les soldes, j'achète des pulls, des gilets, petites affaires souvent chez Zarah, les seuls qui disposent de belles pièces à prix bas.
Matt m'accompagne ^^ le pauvre il subit un calvaire.
Puis on retrouve un autre player Savic, sympa, je nclose une ricaine étudiante étrangère (héhé) 6 qu'est avec sa copine à Odéon naturellemnt en parlant tranquil. Moi j'étais mal habillé.
Voilà mon nouveau style est plus que prêt, cette semaine ça va swinger à la fac et autre !!

Par contre j'ai pas déposé assez de CV.

Pensée du jour : le massacre sioniste (à gaza) est pire que les crimes néo-nazi car ils sont soutenus par la planète.
(dixit Lelibrepenseur de dailymotion "quelle bande de dégénérés !"

2e pensée mais d'hier : Obama enfin nègre ! Maintenant il est l'esclave du capitalisme en servant les intérets des Etats-Unis. (Marc-Edouard Nabe)


Déluge de la modernité. Dès l'urbanisation, les capitaux se sont concentrés sur quelques comptes et les masses dans quelques zones urbaines, des grandes villes.
Les derniers siècles ont été marqués par de nombreux progrès : le siècle des lumières, la santé (Pasteur), la technologie (électricité), vivre dans de meilleures conditions et plus longtemps.
Mais à un moment donné, la recherche de profit de certains Grands a engendré une régression du bien-être. Ca commence surtout à la moitié du XIXe siècle.
Nous sommes entré depuis quelque temps dans une nouvelle ère où il fait mauvais vivre dans la société civilisée, où tout ce qui semblait une avancée paraît maintenant un signe de trouble (produits cancérigènes, stress, pollution, féminisme et abandon de la famille, individualisme, racisme, communautarisme... sans oublier les grands ensembles urbains rompant avec toute harmonie décorative).
Cette modernité donne tout simplement la gerbe.

PS : Ce matin je me suis branlé. Ca ne m'était pas arrivé depuis des semaines.
C'était comme pour vérifier que je pouvais toujours spermer, ben oui pas de soucis...
Ca a réactivé mon envie sexuelle qui était devenue enfouie.
Malheureusement, c'est mécanique, je n'arrive pas à m'exciter autrement qu'en pensant à ce vieux fantasme : une ex qui me domine. Comment échapper à cette malédiction ? Dois-je aller voir un sexologue ?


Satriani - Circles

L'homme entrait dans le salon, barre de fer avec poids de 40 kg posée sur une chaise de cuisine, il faisait avec les moyens du bord.
Il contemplait son corps torse-nu pâle et poilu, tout frais sous la clarté du matin, reflétant sa pureté sous la lumière matinale de banlieue.
Il touchait du bout des doigts le gros disque de 10kgs tout noir, tout froid, noir néant aspirant ses songes. Puis il s'en retira pour venir s'allonger sur la moquette, en dessous de la chaise.
Les deux bras vinrent aggriper les extrêmités rugueuses de la barre, c'était assez brutal comme entrée en matière la journée, ce contact avec la ferraille, le métal.
Il fit doucement rouler la barre jusqu'à l'extrêmité basse de la chaise, pour qu'elle tombe de tout son poids sur ses mains. Apparamment, c'était un rituel dont il avait l'habitude et contrôlait le mouvement.
Et il poussa, et il poussa et il poussa ! Shh shh
Les pectoraux d'un coup saillants, la bouche haletant poussant de gros souffles, les nerfs à gauche du front qui vacillaient sous l'effort, et les nerfs sur les avant-bras tout fins. Le corps rouge se donnait tout entier à cet effort, même les jambes arc-boutées semblaient gémir.
Dès que les coudes touchaient le sol, ils repartaient comme poussés par l'impulsion du choc.
En fait, cet homme voulait économiser ses forces et faire le plus de va-et-viens possibles alors il exécutait le mouvement rapidement même si parfois il s'attardait quand ses bras étaient tendus mais c'est quand ils étaient fléchis que ça consommait le plus de force.
Il fit deux répétitions de plus qu'à la dernière séance, comme à toutes les séances. Rien n'avait changé en fait, mis à part cette progression constante. Rien n'avait changé, il avait toujours cette satisfaction de sportif, d'homme mieux dans sa peau.

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